Rééquilibrage alimentaire

Reprendre son alimentation en main

Toutes les études s’accordent : 15 % de la population française âgée de plus de 18 ans est obèse et environ 35 % est en surpoids. L’obésité infantile n’est pas en reste puisque 15 % des enfants de moins de 15 ans sont également obèses. Les conséquences de ces rondeurs excessives sur notre santé ne sont pas à prendre à la légère. Avec près de 3 millions de personnes, il s’agit là du 5ᵉ facteur de risque de mortalité !

Les mécanismes de la surcharge pondérale

La surcharge pondérale a une origine multifactorielle. Parmi les facteurs favorisants, citons les facteurs hormonaux, alimentaires, environnementaux, génétiques, psychologiques et, enfin, ceux qui sont d’ordre sociologique. Ce phénomène, désormais très important aux Etats-Unis, commence également à devenir un problème majeur de santé publique en Europe. Les populations évoluent alors vers deux types de comportements carrément opposés.
Les premières s’occupent d’elles en faisant attention à ce qu’elles mangent, ainsi qu’à la manière de vivre. C’est pourquoi les parcs de nos grandes villes et les installations sportives voient d’année en année augmenter les adeptes de tous les sports permettant de s’entretenir. Les secondes, en revanche, ne prêtent pas une attention suffisante à leur manière de se nourrir. Dès que les kilos superflus deviennent handicapants, elles cessent de pratiquer tout exercice.
Surcharge pondérale = trop de calories = pas assez de micronutriments
De mars à juin, la une des journaux et des magazines prône des recettes pour perdre les kilos superflus. Certains de ces régimes sont déséquilibrés et donc à bannir, tout déséquilibre conduisant à l’échec. Toute perte de poids est accompagnée de quatre processus physiologiques qu’il vaut mieux connaître pour réussir.
Les cellules graisseuses de l’organisme ont une sorte de mémoire
Malheureusement, si un régime hypocalorique leur a fait perdre de la graisse, les cellules graisseuses vont tenter de reconstituer leur stock par voie hormonale. Le mécanisme de récupération de réserves sera d’autant plus important que la perte aura été rapide. Plus un régime est qualifié "d’efficace", plus il sera difficile à tenir dans le temps !
Moins de calories rime souvent avec moins de micronutriments
La suraccumulation de réserves graisseuses est souvent due à des carences en micronutriments. Plus un aliment est riche en calories et pauvre en micronutriments, plus il fera grossir. L’organisme qui manque de micronutriments cherchera à compenser par la quantité ce que le manque de qualité ne peut lui apporter. La substitution d’aliments pauvres en micronutriments tels que le pain blanc, les pâtes ou le riz par des bananes (pourtant riches en calories), entraînera une perte de poids. Si l’on veut maigrir, il ne suffit pas de manger moins. On doit aussi rééquilibrer l’alimentation pour ne pas augmenter les carences.
Le déséquilibre du rapport des acides gras oméga 3 sur oméga 6
Les oméga 3 sont pro-inflammatoires. Or, l’inflammation permanente engendrée par ces déséquilibres favorise l’accumulation de graisses et des pathologies lourdes comme plusieurs cancers et le diabète de type 2. Les cellules graisseuses enflammées ne réagissent plus aux substances de régulation (comme l’insuline et les lectines). Elles prennent en quelque sorte leur indépendance dans l’accumulation. Tout régime amaigrissant doit commencer ou être précédé par de bonnes prises d’oméga 3 : huiles de noix ou colza, huile de foie de morue ou poissons gras… Mais pas l’huile de tournesol riche en oméga 6 !
Toute perte de graisse est une intoxication proportionnelle à la perte
La graisse perdue va passer dans le sang et être transformée en calories utilisées par l’organisme. Toutes les toxines de ces graisses vont se retrouver en circulation. Ce sont des molécules de Maillard issues de la cuisson des graisses et des protéines que vous avez absorbées. Dans ces toxines se trouvent aussi tous les pesticides liposolubles que l’organisme ne sait pas rejeter et que les graisses du corps éliminent de la circulation sanguine en les stockant (une cure de détox par la propolis serait judicieuse). La perte de poids s’accompagne alors d’un stress oxydant important qui ne fait qu’amplifier le stress tout court d’un changement d’état physiologique. Une perte de poids trop rapide va induire des stress sur plusieurs plans – cellulaire, physiologique et psychologique – qui mettent en péril la poursuite du régime.

Quelques conseils nutritionnels

Le surpoids est associé à divers troubles qui contribuent à réduire l’espérance de vie tels que le diabète de type II, l’hypertension artérielle, les atteintes cardiovasculaires, les apnées du sommeil ou l’arthrose. Dans ce contexte, il est possible d’influer en douceur sur les deux leviers d’actions pour reprendre sa ligne en main : l’alimentation et l’exercice physique. Il s’agit avant tout d’un investissement personnel. Bien sûr, il ne faut pas hésiter à se faire accompagner par des diététiciens nutritionnistes et des coachs sportifs.
Rééquilibrage alimentaire avec le pollen frais
Ces rondeurs excessives sont dans la majorité des cas la manifestation d’un déséquilibre entre les apports et les dépenses énergétiques. Il faut donc jouer sur ces deux plans. Un bilan alimentaire peut permettre de faire le point sur ce que vous consommez et comment vous consommez. Vouloir faire attention à son alimentation ne signifie pas devoir se priver de tout, tout le temps !
Un équilibre alimentaire ne se construit pas sur une seule journée. Méfiez-vous ! Les régimes alimentaires avec éviction complète de certaines classes d’aliments, ou qui promettent des réductions spectaculaires en un temps record, sont souvent source de carences nutritionnelles et de frustration. Cela risque de déclencher un effet rebond ou, pire, un risque d’atteinte fonctionnelle grave de certains organes.
Tout est donc dans l’équilibre et le choix des bons aliments. Il sera important de repenser la structuration de son alimentation, avec des repas à des heures régulières avec un temps minimum d’au moins 20 minutes pour laisser le temps à votre cerveau de percevoir les messages de satiété. Le choix des aliments va également être très important. Ils doivent dans leur ensemble (puisque un aliment seul peut rarement cumuler toutes les vertus) vous apporter une très bonne densité nutritionnelle, ce qui signifie un ratio nutriments sur énergie élevé. Il sera par exemple facile de remplacer le sucre blanc raffiné par du miel.
Sont donc à privilégier les aliments à index glycémique bas ou modéré (féculents, légumineuses, fruits, légumes…) mais aussi le pollen frais, une source de protéines non grasses. Il est maintenant bien établi que le microbiote - l'ensemble des bactéries contenues dans notre intestin - a un rôle essentiel dans le contrôle de la prise alimentaire. La consommation d’aliment riche en ferments lactiques comme le pollen frais d'aubépine associée avec une source de prébiotiques comme les fructo-oligosaccharides d’un miel liquide sont des associations gagnantes. La consommation d’aliments riches en fibres sera préconisée et aura une action bénéfique sur votre transit, sur votre immunité et sur l’absorption des minéraux ainsi qu’un effet satiétogène. 
Eau plate ou gazeuse, seule ou mélangée à des poudres de fruits, jus de légumes, tisanes, café, thé… Sous réserve qu’elle n’apporte pas de calories vides comme les sodas ou l’alcool, une hydratation régulière tout au long de la journée permettra de leurrer quelque peu votre cerveau et éloignera les pulsions de grignotage. Dans le cadre de ce rééquilibrage calorique, une baisse de l’apport énergétique quotidien est souvent nécessaire. Néanmoins, il est préférable de répartir cet apport journalier prioritairement sur le petit déjeuner et le déjeuner afin d’avoir plus d’opportunités de dépenser ces calories plutôt que de les stocker.
Un des meilleurs moyens pour dépenser ces calories est le sport. Les activités peu traumatiques comme la marche, la natation ou le vélo sont à privilégier. L’objectif est de fabriquer de l’énergie à partir des lipides de l'organisme par la voie aérobie. Celle-ci peut être ponctuée par une petite collation de type pomme ou smoothie à base de lait végétal et de poudres de fruits riche en antioxydants. Cette période de transition dans nos habitudes alimentaires et de vie peuvent être la source d’un affaiblissement du système immunitaire. La consommation de propolis pendant cette période peut constituer un bon soutien de notre immunité.

Réduire la surcharge pondérale avec le pollen

Le pollen récolté par les abeilles demeure l’aliment le plus riche en micronutriments que l’on connaisse. De par sa forte teneur en vitamines, en enzymes et en minéraux, le pollen est le meilleur moyen de compenser les carences de l’alimentation antérieure qui a provoqué la surcharge. Le pollen conservé par congélation est à privilégier, le simple séchage provoquant un effondrement matriciel et la perte de la synergie entre les éléments.
Gérer le cholestérol avec le pollen
Le surpoids accroît les risques cardiovasculaires, de cancer, mais aussi de dégénérescence du système nerveux et de la rétine. Si l’ensemble des antioxydants du pollen frais ne peut qu’avoir un rôle préventif, le fait de diminuer un tant soit peu le risque permet de mieux gérer les stress générés par cette surcharge. Pensons aux caroténoïdes, à la vitamine E et aux phytostérols qui, en association, permettent une meilleure gestion du cholestérol et une élimination des plaques d’athérome. Pour les personnes en surcharge pondérale, la notion de cure n’a pas vraiment de sens. Il est vivement conseillé de consommer des doses de pollen frais plus importantes : environ 30 g/jour soit deux cuillères à soupe.
Lutter contre la constipation avec le pollen
En réduisant la pression des pathogènes dans l’intestin, le pollen de ciste permet un meilleur fonctionnement intestinal. Bien nourrie en fibres, la flore lactique du côlon droit reprend vigueur et remplit pleinement son rôle d’élimination du mauvais cholestérol. Le pollen frais est le maître de la régulation du transit intestinal. Or, la constipation est le grand ennemi des personnes ayant une surcharge pondérale. Elles ont une trop forte réabsorption de l’eau par le côlon transverse et descendant. Leur côlon ascendant (droit) ne sécrète pas assez de mucines protectrices de la muqueuse. Le pollen frais restructure donc tout le processus d’élimination par les selles en association avec les fibres des fruits et légumes.
Pollen frais : le gendarme du microbiote
Le pollen pour lutter contre Candida albicans
Chez les Américains, 98 % des obèses sont atteints de candidoses intestinales. Candida albicans est un germe que tout le monde héberge dans les intestins. Il peut prendre la forme d’une levure inoffensive ou la forme d’un champignon. Dans ce cas, il émet un mycélium qui pénètre la muqueuse intestinale et peut coloniser le tube digestif de la bouche à l’anus. Aux deux extrémités du tube digestif, il provoque une dépigmentation appelée muguet. Ce champignon émet une trentaine de toxines qui provoquent une baisse de l’immunité, de la fatigue, de l’anxiété, des démangeaisons anales et une perpétuelle faim de sucre. Pour se développer, il a d’ailleurs besoin d’une alimentation riche en sucres rapides. Les obèses sont donc pris dans un cercle vicieux : ils consomment du sucre parce que la candidose leur génère ce besoin, et elle perdure parce qu’ils consomment du sucre. 
Le pollen frais peut être un allié précieux pour combattre ce champignon. Pour commencer, prenez une cuillère à soupe de pollen frais de ciste à chaque repas. Attendez-vous à une aggravation des symptômes pendant les dix premiers jours. C'est un signe positif : le Candida libère ses toxines en se retirant. Il est crucial de persévérer durant ces deux premières semaines, car la suite du traitement sera plus facile. Progressivement, vous retrouverez votre énergie, les démangeaisons disparaîtront et votre poids diminuera. Il est important de ne pas arrêter le pollen trop tôt. Un arrêt prématuré pourrait entraîner le retour du champignon.
Le pollen, un antidote à l'anxiété des régimes
L'idée de restreindre son alimentation est souvent source d'une grande anxiété, voire de panique. Pour beaucoup, manger moins est perçu comme une forme de privation, un lent déclin. L'introduction de pollen frais dans son régime alimentaire transforme cette perception. Il agit comme un véritable antidote à la sensation de manque, remplaçant la quantité par une qualité nutritionnelle exceptionnelle. De plus, cette démarche instaure un rituel positif de soin de soi, transformant la contrainte alimentaire en un acte bienveillant pour son propre bien-être.
Le stress ressenti lors d'une privation alimentaire n'est pas uniquement psychologique ; il engendre aussi un stress physiologique. Le foie stocke des réserves d'énergie sous forme de glycogène, capable de se transformer en glucose selon les besoins de notre organisme, et ce, pour plusieurs jours, voire semaines. Au-delà de ses bienfaits psychologiques, le pollen procure une douce euphorie très appréciable. Ses vitamines du groupe B agissent directement sur le système nerveux, aidant ainsi à contrer le stress lié à la sensation de privation.

Pourquoi consommer le pollen au petit déjeuner ?

Les pollens sont naturellement riches en protéines végétales : en moyenne 20 % et jusqu’à 24% pour celui d’aubépine. Ils vont donc contribuer à l’apport journalier dès le 1er repas de la journée. Des chercheurs ont récemment analysé les données sur la santé de la population pour comprendre la relation entre l’apport en protéines et l’obésité. Ils ont découvert un lien entre un apport plus faible en protéines au cours du premier repas de la journée et un apport alimentaire global plus élevé tout au long de la journée. Les résultats de l’étude sont publiés dans Obesity.
L'intérêt de consommer du pollen dès le petit déjeuner
"La faim de protéines" peut pousser à la surconsommation d’aliments hautement transformés et à l’obésité, selon une nouvelle étude. Proposée pour la première fois en 2005, l’hypothèse du levier protéique (PLH) est une théorie sur la cause de l’obésité. Elle stipule que si les besoins de l’organisme en protéines ne sont pas satisfaits, la consommation de graisses et de glucides augmente, ce qui atténue les signaux de satiété et augmente la prise alimentaire. Les chercheurs ont constaté que les personnes qui consommaient de plus faibles quantités de protéines au premier repas de la journée avaient un apport calorique plus élevé lors des repas suivants. Les chercheurs ont noté qu’à mesure que l’apport en protéines diminuait, l’énergie provenant des graisses, des glucides, des sucres et de l’alcool augmentait dans ce que l’on appelle la "dilution des protéines".
Ils ont également noté que les personnes qui consommaient moins de protéines au premier repas consommaient davantage d’aliments hautement transformés au cours de la journée. Cette étude suggère que chez les humains, la consommation de repas pauvres en protéines en début de journée entraîne, par le biais du levier protéique, une surconsommation d’énergie (graisses et glucides).
Même si les personnes qui prennent des petits-déjeuners pauvres en protéines ont tendance à choisir des repas plus riches en protéines par la suite (au déjeuner et au dîner), elles ne compensent pas tout à fait leur début de journée pauvre en protéines, de sorte qu’à la fin de la journée, le régime alimentaire quotidien global est plus pauvre en protéines et plus riche en graisses et/ou en glucides que les personnes qui commencent la journée par des repas plus riches en protéines.
Il est important de noter que les pollens Aristée contiennent les 9 acides aminés essentiels. Ils ont un aminogramme équilibré qui permet une meilleure synthèse protéique ainsi qu’une assimilation plus optimale des protéines ingérées sur le reste de la journée.
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